L'ACTUALITE DU RECRUTEMENT


Retrouvez les dossiers d'actualité du mois par le Cabinet de recrutement R.C.V. Conseil :
- Les intentions d'embauche au plus haut,
- Un cadre sur trois a déjà démissionné d'un nouvel emploi car il ne se sentait pas bien intégré...,
- L'édito : "Recruter, c'est bien ; le faire bien, c'est mieux !",
- Le Chargé de recrutement du mois,
- Donnez votre avis sur R.C.V. Conseil.

Spécialisé depuis plus de 20 ans dans les métiers du BTP, de l'Industrie, des Energies, des Services aux entreprises, de la Santé et de l'Immobilier, nous répondons à vos besoins sur les profils production, exploitation, études, commerciaux, techniciens, managers,… (www.rcv-conseil.com).

R.C.V. Conseil a été sélectionné parmi les 250 meilleurs cabinets de recrutement de France (sur 3.500) selon le classement Les Echos - Statista, rendu public en novembre 2017.



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Donnez votre avis sur R.C.V. Conseil :

Cette année, à nouveau, Les Echos et Statista recensent les meilleurs cabinets de recrutement de France. Si vous êtes satisfaits de nos prestations, nous vous serions très reconnaissants de bien vouloir compléter le questionnaire ci-après, cela ne vous prendra que deux minutes. A la fin du questionnaire, vous aurez la possibilité de participer à un tirage au sort pour gagner un iPad :
Répondre au questionnaire
Merci à vous !

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Recruter, c'est bien ; le faire bien, c'est mieux !

Il existe une remarquable variété des processus de recrutement au sein des entreprises. Selon la réactivité, le nombre d’entretiens, la qualité des informations échangées, la cohérence des questions, la qualité des entretiens et le retour de celui-ci, de nombreuses disparités aux conséquences très importantes sur le résultat final !...

Malgré une forte exigence de réactivité, voire d’urgence absolue, les décideurs ne mesurent pas toujours l’importance de suivre correctement et de manière cadencée les différentes étapes d’un processus qui leur permet d’attirer les meilleurs. La fluidité d’un recrutement est déterminante pour les candidats qui ont souvent une expérience de ce que signifie le fait de postuler. Ainsi, des entreprises qui mettent du temps à se positionner sur une candidature, ou des recruteurs internes qui exigent un nombre élevé d’entretiens, inquiètent des candidats qui s’interrogent sur la prise de décisions et la culture de la gestion des risques.

Dans un monde où domine l’urgence, soumis à des exigences de réactivité et d’efficacité, la qualité de l’expérience candidat passe également par la pertinence des informations partagées et analysées ensemble. L’entreprise doit être capable d’identifier le plus tôt possible dans le processus de recrutement, les éléments qui bloqueraient la signature d’un contrat. Par exemple, les contraintes géographiques (localisation du poste, fréquence des déplacements…) ou les prétentions salariales ou budgétaires associées au poste doivent être rapidement considérées.

La qualité des questions posées et les exigences des interlocuteurs au cours du processus de recrutement sont également des informations précieuses pour les candidats. Si l’on souhaite évaluer la capacité concrète et précise d’un candidat à se projeter sur un poste, il importe de lui donner quelques éléments de contexte pour éviter des réponses trop générales donc peu pertinentes. À cela s’ajoutent souvent des enjeux de pouvoir internes qui viennent perturber l’entretien en tant que tel et créer des biais supplémentaires. Il est évident que la manière avec laquelle sont conduits les entretiens reflète les codes de l’entreprise et la façon dont ses fameuses valeurs y sont vécues concrètement. La durée des entretiens, la ponctualité avec laquelle les candidats sont reçus seront gages de professionnalisme, ou plus simplement de respect.

La dernière étape du processus de recrutement, c’est-à-dire la réponse qui est apportée à un candidat, est souvent négligée. La décision finale doit être claire et argumentée a minima.

Par notre expérience de recruteur, nous sommes aussi là pour assister et conseiller nos clients entreprises. Nous mesurons à quel point la fluidité avec laquelle est menée l’ensemble des étapes d’un recrutement, la pertinence de ce qui est demandé aux candidats, leur respect dans les différents contacts sont autant de gages du professionnalisme de l’entreprise et influencent positivement ou non les meilleurs candidats pour la rejoindre. Mettons donc toutes les chances de notre côté ! 

 

Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président

 


 

Le Chargé de Recrutement du mois

Hugues MOREAU : Titulaire d'un Master 2 Administration Economique et Sociale, spécialité Droit Social, obtenu à l'Université de Droit de Lille 2, il a travaillé comme Assistant en Ressources Humaines dans la grande distribution, puis comme Enseignant en Economie en lycée, avant de devenir Chargé de Relation Consultant dans le portage salarial. Il intervient comme Chargé de recrutement chez R.C.V. Conseil au sein du Pôle Energies et Façades.


3 questions à Hugues MOREAU :

Vous étiez auparavant Chargé de Relation Consultant dans le portage salarial ; pourquoi vous avoir choisi de vous orienter vers le conseil en recrutement ?
Après avoir géré un portefeuille de plus de 100 consultants pendant 5 ans, j’avais besoin d’un nouveau challenge. Je cherchais un poste alliant dynamisme et le sens du relationnel. Je l’ai trouvé dans le conseil en recrutement.

Et pourquoi avoir choisi d’exercer ce métier chez R.C.V. Conseil ?
Je souhaitais intégrer une petite structure, proche de ses clients et des candidats, et suffisamment souple pour être réactive. Rejoindre R.C.V. Conseil permettait de combler deux préoccupations : rejoindre une équipe de consultants à taille humaine et effectuer du travail de qualité pour mener à bien nos missions de recrutement.

Voilà plus de 6 mois que vous intervenez chez R.C.V. Conseil, quelles principales valeurs ajoutées apportez-vous aux clients du Cabinet pour lesquels vous recrutez ?
En tant qu’interlocuteur référent, nous avançons de manière constructive grâce à des points et échanges réguliers avec nos clients. En restant à leur écoute, nous axons nos recherches au plus près de leurs besoins et de manière réactive. Dans ce climat de confiance, nous pouvons apporter nos préconisations et conseils sur les profils présentés, et notre analyse du marché de l’emploi. 
 


 

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Les intentions d'embauche au plus haut

Les entreprises anticipent 350.000 projets de recrutements de plus en 2019 qu'en 2018, selon Pôle emploi. Les deux tiers concernent les services, même si la construction et l'industrie recherchent de nombreux talents. Une embauche sur deux sera difficile, anticipent les employeurs, un taux record en dix ans. (avec Les Echos).

Les entreprises comptent encore beaucoup recruter cette année. Le baromètre de Pôle emploi sur les besoins en main-d'oeuvre publié récemment fait ressortir des intentions d'embauches à nouveau en hausse de près de 15 % en 2019, à +350.000, hors administrations d'Etat et certaines entreprises publiques.

Cela fait suite à un millésime 2018 déjà record. A ce rythme, le nombre de projets de recrutement frôlerait les 2,7 millions cette année, « au plus haut depuis 2010, année de mise en place de cette enquête dans ce format », a souligné Jean Bassères, le directeur général de l'opérateur public.

Intentions d'embauche ne signifie pas automatiquement embauche, a-t-il rappelé, certaines pouvant être abandonnées ou, au contraire, donner lieu à plus de recrutements par effet de cascade. L'expérience montre toutefois que dans huit cas sur dix, le recrutement a lieu. D'autant que cette enquête, réalisée avec le Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc), fait surtout ressortir les embauches de moyenne ou longue durée. En clair, les employeurs restent avides de renforcer leurs équipes, malgré le ralentissement de la croissance.

Les services en tête en volume
Malgré une croissance du PIB revue à 1,4 % en 2019, la proportion d'entreprises souhaitant recruter augmente et, pour celles qui sont concernées, le nombre moyen de projets de recrutement suit la même pente (il est passé de 3,9 à 4,3 par établissement). Les entreprises de 50 à 199 salariés se distinguent par un dynamisme beaucoup plus marqué.

Mieux, volume et qualité se conjuguent : 45,2 % des projets d'embauches le sont sous forme de CDI, contre 41,7 % dans le précédent opus du baromètre. Trois régions, pourtant très différentes entre elles ne serait-ce que sur le taux de chômage, se distinguent : Pays de la Loire, Normandie et Haut-de-France.

Conformément à la structure de l'économie française, les services, aux particuliers ou aux entreprises, captent le plus grand nombre de projets d'embauches, comme en témoigne le Top 3 des métiers les plus recherchés (hors saisonniers de l'agriculture) : agent d'entretien de locaux ; serveurs de cafés ou de restaurants ; aides, apprentis ou employé de cuisine.

Profils inadaptés
Même si les volumes sont moindres, la dynamique reste bonne dans l'industrie (+19,6 % de projets) qui plus est très majoritairement pour « répondre à une augmentation d'activité ». Elle l'est encore plus dans la construction (+26 %), la palme, tous secteurs confondus, revenant au transport et à la logistique (+34,5 %).

Revers de la médaille, ce volontarisme va de pair avec une perception renforcée des difficultés à trouver le bon candidat : un projet de recrutement sur deux sera difficile, anticipent les chefs d'entreprises sondés, contre 44,4 % l'année dernière. C'est le plus fort taux constaté en dix ans et ce qui concernait surtout les TPE-PME s'est étendu aux ETI et aux grands groupes.

Le cocktail de raisons qui alimentent ce pessimisme n'a, en revanche, que peu bougé. La première, qui revient dans les trois quarts des réponses, porte sur « l'inadéquation » du profil du candidat, conséquence d'un manque d'expérience, de motivation, de compétences techniques, ou d'un relationnel défaillant. Vient ensuite la question des conditions de travail. 

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Un cadre sur trois a déjà démissionné d'un nouvel emploi car il ne se sentait pas bien intégré...

Les entreprises connaissent les règles de base pour accueillir un nouveau collaborateur, puisque plus de 8 sur 10 signalent leur arrivée en amont et le présente à leur équipe, selon un sondage Cadremploi. Mais passé le premier jour, peu ont mis en place un parcours d'intégration (avec BFMTV).

Ne pas prendre soin des nouvelles recrues après leur embauche peut coûter cher. Alors que les entreprises emploient les grands moyens pour recruter les meilleurs profils, elles oublient parfois de s'occuper de leur adaptation à leur poste et à son environnement. Un traitement que les cadres ne leur pardonnent pas : 33% déclarent avoir déjà démissionné à la suite d'une mauvaise intégration au sein de leur nouvelle entreprise, selon une étude Cadremploi. Parmi eux, leur prise de décision est rapide : 65% l'ont fait dans les 6 mois qui ont suivi la prise de poste.

Un accompagnement le premier jour...
La plupart des entreprises appliquent pourtant les règles de base pour faciliter l'arrivée d'un nouveau collaborateur. Notamment, elle l'anticipe : 83% des cadres déclarent en effet que leur arrivée avait été communiquée en amont à leurs équipes et 80% à leur service. Elles sont néanmoins moins nombreuses à le faire à l'échelle de l'entreprise, puisque 63% annoncent à l'ensemble du personnel l'arrivée d'une recrue.

Le premier jour, le salarié n'est pas laissé dans un coin : 87% des personnes interrogées ont été présentées à leur équipe et 83% à l’ensemble de leur service.

Et plus rien les jours suivants
Mais c'est sur les jours et les semaines qui suivent que les entreprises relâchent leurs efforts, puisque la plupart des cadres sont livrés à eux-mêmes. Seulement 46% des cadres estiment avoir bénéficié d'un parcours d’intégration à leur arrivée.

Ces processus d'intégration, quand ils existent, sont en outre souvent basiques : 69% incluent le tour des locaux, 52% proposent un petit déjeuner avec tous les nouveaux arrivants et dans 56% des cas, un membre de la direction vient présenter l'entreprise.

Le parrainage par un collaborateur plus ancien est une pratique qui reste marginale, seulement 11% des cadres sondés en ont bénéficié. 18% se sont vu proposer des activités entre nouveaux arrivant et 29% ont pu participer à des afterworks organisés pour créer du lien au sein des équipes.

Mais ces pratiques restent l'apanage des grandes entreprises. "Une tendance qui parait logique puisque ce sont elles qui disposent a priori des moyens les plus confortables, tant humains que financiers, pour déployer des actions de plus grande envergure", détaillent les auteurs de l'étude. 

 


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Toute l’équipe du Cabinet R.C.V. Conseil : Louis-Marie, Marie, Pierre, Amélie, Hugues, Gwenaëlle, Marc et Nathalie se tiennent à votre disposition.

Bien cordialement,


Régis de la CROIX-VAUBOIS
Président
144 Bureaux de la Colline - 92213 Saint-Cloud cedex
Tel : 01.55.38.75.00 - Fax : 01.55.38.75.09
contact@rcv-conseil.com

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R.C.V. Conseil, l'ensemble de nos prestations :

- Recrutement,
- Prestation de Chasse (contrat de mission), 
- Dossier d’Evaluation (approche directe),
- Prise (contrôle) de références,
- Bilan de compétences (formation), 
- RPO (externalisation du recrutement),
- Outplacement (reclassement), 
- Conseil en orientation et recherche d’emploi (formation), 
- Portage salarial, 
- Test de personnalité ou d’aptitude.

N'hésitez pas à nous consulter.


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