Retrouvez les dossiers d'actualité du mois par le Cabinet de recrutement R.C.V. Conseil : - R.C.V. Conseil classé à nouveau parmi les meilleurs cabinets de recrutement de France par Les Echos, - L’engagement au travail ne s’achète pas : il se construit, - Génération Z : déjà dans la tempête de l’IA, - Recrutement : quand la pénurie de temps crée la pénurie de talents, - L'édito : "La France qui avance pendant que l'Etat s’enlise", - La Chargée de recrutement du mois. Spécialisé depuis plus de 27 ans dans les métiers du BTP, de l'Industrie, des Energies, de l'Environnement, des Services aux entreprises et de l'Immobilier, nous répondons à vos besoins sur les profils production, exploitation, études, commerciaux, techniciens, managers,… (www.rcv-conseil.com).

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La France qui avance pendant que l'Etat s’enlise

À Paris, cet automne précoce ressemble déjà à l’hiver. Pas seulement pour la météo : c’est tout le climat politique et économique qui s’est assombri. Depuis deux mois, le feuilleton Élysée–Matignon–Sénat–Assemblée nationale tourne à vide, décourage les plus endurcis et finit par lasser profondément les milieux économiques, qui ne comptent plus les coups… ni les coûts. Mais franchissez le périphérique, et c’est un autre pays qui apparaît. Un pays qui travaille, qui produit, qui avance. Le pays des PME et des ETI : discret quand tout va bien, surexposé quand ça va mal. Un pays dont on ne parle que pour les crises, jamais pour les réussites. Et pourtant, c’est lui qui tient l’économie debout. Ces entreprises voient, elles aussi, le chaos politique et les incertitudes fiscales. Elles savent que cela pèse sur l’envie d’investir et de recruter. Mais elles ne s’y attardent pas. Elles restent concentrées sur leur ligne de course, déterminées à préserver leur activité plutôt que d’attendre un signal venu de Paris qui ne viendra pas. C’est peut-être ce qui explique un paradoxe : malgré la crise politique ouverte depuis l’été 2024, le climat des affaires ne s’effondre pas. Il remonte même légèrement en novembre, au plus haut depuis dix-huit mois. Fragile, mais résistant. Une forme de résilience silencieuse, portée par des entrepreneurs qui avancent malgré tout. Les prochains mois diront si cette résistance tient, ou si le tumulte fiscal et les revirements politiques ont fini par peser. Mais sur le terrain, une chose est sûre : ça travaille. Les CCI accompagnent, les élus locaux coopèrent, et l’économie réelle continue de tourner, loin du théâtre d’ombres parisien. Soyons clairs : ce n’est pas le pays qui est en crise, c’est l’État. Et sa crise coûte cher, très cher. Elle siphonne l’énergie, abîme la confiance et perturbe inutilement ceux qui, chaque jour, produisent la richesse nationale. Plus que jamais, il est temps de regarder au-delà du périphérique. C’est là que ça bouge. C’est là que ça crée. C’est là que ça résiste. C’est là que se trouve la France qui avance, malgré tout.   Régis de la CROIX-VAUBOIS Président

 

 

 

 

 

La Chargée de Recrutement du mois

Amélie SCHMITT : Titulaire d'un DESS de Droit des Affaires et Fiscalité, d'un Magistère de Droit des Affaires, du D.J.C.E. Diplôme de Juriste Conseil en Entreprise (1993) Paris 2 Assas, Amélie a été Chargée de mission en collectivité territoriale ; elle intervient comme Chargée de recrutement chez R.C.V. Conseil depuis 2012.

3 questions à Amélie SCHMITT :  

L’économie française et les entreprises pâtissent de l’instabilité politique actuelle qui ne leur permet pas de se projeter sereinement dans l’avenir ; quelles en sont les répercussions sur le marché du recrutement ? Le poids qui pèse sur les entreprises du fait de l’instabilité politique et de l’absence de réformes nécessaires n’est malheureusement pas nouveau. Ajoutez à cela la perspective des élections municipales de mars 2026, traditionnellement temps mort du secteur du fait des incertitudes de permis de construire, le climat n’est effectivement pas à l’euphorie et à la création de postes. Néanmoins, et c’est une nouveauté par rapport aux précédentes crises, le marché du recrutement est moins fragilisé qu’il le pourrait. En effet, si l’on considère la poursuite des départs à la retraite des « boomers » et le maintien d’une situation de pénurie de bons profils, le besoin d’assurer a minima la stabilité des effectifs est confirmé. Le marché du recrutement doit donc aujourd’hui gagner en exigence pour conserver dynamisme et fluidité. Selon vous, quel sera le plus grand défi recrutement des entreprises dans les 12 prochains mois ? Le plus grand défi recrutement des entreprises sera sans nul doute d’anticiper à la fois leurs besoins, car le processus de recrutement peut se trouver aujourd’hui ralenti, et l’évolution des métiers notamment avec l’IA. Plus que jamais, elles doivent se mettre en position de séduction des bons candidats, préalable indispensable au choix, et faire preuve de réactivité et d’imagination. Les profils, tout en étant habitués à composer avec des situations conjoncturelles incertaines, attendent d’être rassurés et conquis. C’est l’étape indispensable pour tout recruteur qui souhaite garder la main sur la décision finale. Comment distinguez-vous un “bon” candidat d’un candidat “excellent” ? Le bon candidat coche des cases, répond à des attentes en termes de formation ou de parcours, valide une expérience. Notre plus-value est de lui faire lever la tête et de lui donner l’opportunité d’exprimer ses souhaits, les moteurs de son parcours. C’est dans cette relation de confiance que se révèlera le candidat « excellent », où le savoir-faire et le savoir être se combinent, et dont la personnalité nous apparait à même de s’adapter aux défis. Ces profils, souvent atypiques ou du moins inhabituels, se révèlent alors des pépites. La qualité des échanges que nous pouvons avoir avec eux sont souvent de bons indicateurs nous permettant d’attirer l’attention de nos clients sur ces personnalités à potentiel. A nous d’utiliser notre expertise pour les dénicher !

   

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R.C.V. Conseil, l'ensemble de nos prestations : - Recrutement, - Prestation de Chasse (contrat de mission),  - Dossier d’Evaluation (approche directe), - Prise (contrôle) de références, - Veille Mobilité, - Bilan de compétences (formation),  - RPO (externalisation du recrutement), - Outplacement (reclassement),  - Conseil en orientation et recherche d’emploi (formation),  - Portage salarial,  - Test de personnalité ou d’aptitude. N'hésitez pas à nous consulter.  

 

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Recruter, c'est bien ; fidéliser, c'est mieux : le service de Veille Mobilité proposé par R.C.V. Conseil.

Notre service de Veille Mobilité consiste à informer au plus vite nos entreprises clientes lorsqu’un de ses salariés s’ouvre au marché via les médias internet de l’emploi. Notre Cabinet rassemble et traite pour elles les informations recueillies sur les principaux réseaux du marché français :

  • CV Aden : Groupe Figaro Classifieds, CV Aden rassemble les sites Cadremploi, Cadreonline et Keljob, et affiche environ 2 millions de profils avec leurs C.V., plus d’un Cadre français sur deux s’y rend chaque mois,
  • Indeed : premier site emploi mondial, Indeed compte 250 millions d’utilisateurs mensuels dont plus de 6 millions de visiteurs par mois en France,
  • APEC : acteur majeur de l’emploi, l’APEC compte plus de 300.000 profils de Cadres avec leur C.V.,
  • Pôle Emploi : Pôle Emploi compte plus de 5 millions de profils avec leur C.V. en ligne ; c’est le premier jobboard de France,
  • LinkedIn : principal réseau social professionnel comptant 25 millions de profils en France - ce qui représente 80 % de la population active - nous y avons investi dans un outil complémentaire afin d’être informés de l’ouverture active au marché des profils.

Munis de cette information (publique et accessible à tous), cela permet à l’entreprise d’adopter l’attitude et la stratégie les plus adaptées vis-à-vis de son collaborateur.

A chaque transmission d’éléments sur un salarié, et en complément de cette prestation de Veille Mobilité, l’équipe du Cabinet propose de le contacter directement et confidentiellement afin d’analyser ses motivations ; ce contact fera l’objet d’une commande spécifique.

 

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Pour la neuvième année consécutive, Les Echos et leur partenaire Statista publient le palmarès des Meilleurs Cabinets de Recrutement de France. Nous sommes particulièrement fiers et heureux de figurer une nouvelle fois dans ce classement, qui constitue aujourd’hui la seule référence indépendante permettant d’évaluer les acteurs du recrutement en France. Ce palmarès est établi à partir d’une large enquête menée auprès de plusieurs milliers de répondants : entreprises, professionnels RH et candidats. R.C.V. Conseil est ainsi distingué :

  • Parmi les 300 meilleurs Cabinets de recrutement de France,
  • Parmi les 124 meilleurs Cabinets spécialisés dans le recrutement de managers et de spécialistes,
  • Parmi les 65 Cabinets ayant obtenu la note maximale, pour la qualité des services, la communication, le rapport qualité-prix, la rapidité d’exécution des missions, ainsi que la pertinence de la sélection des candidats et des opportunités proposées.

Retrouvez l’intégralité du palmarès : Palmarès Les Echos – Meilleurs Cabinets de recrutement 2026 Toute l’équipe est heureuse de partager cette reconnaissance et adresse un immense merci à nos clients, qui nous accordent leur confiance… parfois depuis 27 ans !

 

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L’engagement au travail ne s’achète pas : il se construit

On le sait intuitivement, mais les chiffres le confirment : le management est aujourd’hui le véritable moteur de l’engagement au travail. À l’initiative de SFL, foncière spécialisée dans l’immobilier de bureaux parisiens, des salariés ont été interrogés via un questionnaire élaboré avec l’IFOP pour évaluer leur rapport à l’engagement professionnel. Les réponses collectées ont permis d’établir le baromètre Paris Workplace, qui distingue trois catégories de collaborateurs : les engagés (38 %), les neutres (40 %) et les désengagés (22 %). Le mythe du salaire comme premier levier d’engagement L’étude bouscule une idée largement répandue : un salaire élevé ne suffit pas à garantir l’implication d’un salarié. « C’est évidemment un élément important, mais il reste loin derrière la qualité du management, le bien-être au travail, le sentiment d’appartenance et la reconnaissance », souligne Alexia Abtan, directrice des investissements de SFL et pilote du baromètre Les chiffres parlent d’eux-mêmes :

• 93 % des super-engagés se sentent soutenus par leur responsable,

• 91 % reçoivent régulièrement des marques de reconnaissance,

• 89 % déclarent avoir le droit à l’erreur, sans peur de sanction.

Ce climat de confiance produit un impact durable : plus d’un salarié très engagé sur deux (53 %) se projette dans son entreprise au-delà de cinq ans. Des actions simples, peu coûteuses… mais déterminantes « Un feedback régulier, une prise de décision partagée, un échange authentique : ces gestes élémentaires peuvent transformer la motivation », rappelle Alexia Abtan. Et pourtant, ils restent sous-exploités. À l’inverse, chez les salariés désengagés – ces 22 % qui peinent à trouver du sens – l’érosion est rapide. Manque de reconnaissance, management distant, organisation peu lisible : tous les ingrédients d’un effet d’entraînement négatif sont réunis. L’étude confirme un point essentiel : les moments conviviaux (petits-déjeuners, afterworks, etc.) ne suffisent pas à réengager des équipes. Le seul levier réellement efficace demeure la proximité managériale, celle qui construit jour après jour la confiance, l’écoute et le lien humain. Le lieu de travail, un vecteur d’identité Le baromètre met également en lumière un aspect souvent négligé : le rôle du bureau dans l’engagement. Le lieu physique n’est pas seulement un espace de travail, mais un espace de vie, de lien social et d’appartenance. Ainsi :

• 34 % des super-engagés déclarent venir au bureau pour faire partie du collectif,

• contre 26 % des neutres,

• et seulement 21 % des désengagés.

Fait étonnant : 65 % des super-engagés continueraient à travailler même s’ils gagnaient au Loto. Le message est clair : lorsque le sens, la reconnaissance et un management inspirant sont réunis, l’engagement devient un moteur personnel, presque indépendant des circonstances. L’étude le démontre sans ambiguïté : l’engagement n’a rien d’un hasard. Il se construit patiemment à travers un management attentif, des relations humaines authentiques et un environnement de travail incarnant l’identité de l’entreprise. Et quand ces trois piliers sont réunis, l’engagement n’est plus seulement un indicateur RH : il devient un avantage stratégique et un cercle vertueux pour toute l’organisation.  

 

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Génération Z : déjà dans la tempête de l’IA

Ambitieuse, brillante, connectée… et déjà bousculée. La génération Z, née à la fin des années 1990, fait ses débuts sur un marché du travail qui n’a plus rien à voir avec celui que leurs aînés ont connu. L’irruption massive de l’intelligence artificielle rebat les cartes à une vitesse fulgurante, et les jeunes diplômés se retrouvent à affronter un paysage professionnel plus instable, plus sélectif, mais aussi plus exigeant. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : depuis janvier 2024, les offres d’emploi pour débutants ont chuté de 29 points dans les quinze pays étudiés, dont la France. Dans la tech, c’est une véritable dégringolade : –35 points. La finance suit, à –24 points. En réalité, un seul secteur semble résister : la santé, qui affiche paradoxalement une hausse de 13 % des offres. Et pour cause : les soignants ne peuvent pas être remplacés par une machine, comme le rappelle Stéphane Jeugnet, directeur général d’Appel Médical. L’IA peut assister un diagnostic, mais elle ne se tiendra jamais au chevet d’un patient, ne posera pas une perfusion et n'accompagnera pas une personne dépendante. La santé, confrontée en plus à une vague de départs en retraite, demeure l’un des rares refuges où les jeunes sont encore attendus et activement recherchés. Partout ailleurs, la montée en puissance de l’IA bouleverse les règles. Les missions traditionnellement confiées aux juniors — analyses, collectes de données, rédaction de rapports, production de synthèses — sont désormais automatisées ou réalisées en quelques minutes par des outils intelligents. Le jeune diplômé n’arrive plus pour “faire”, mais pour superviser, vérifier et interpréter. La valeur se déplace du travail d’exécution vers la capacité à orchestrer un système. Pourtant, contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, la génération Z n’est pas hostile à l’IA. Elle s’en empare même avec enthousiasme : 74 % des jeunes Français l’utilisent déjà pour apprendre, se former ou accélérer leur productivité. Mais cet appétit technologique s’accompagne d’une inquiétude réelle. Plus de la moitié (52 %) redoute que l’IA menace son emploi, tandis que 55 % se réjouissent malgré tout de sa diffusion dans les entreprises. Cette ambivalence résume parfaitement leur état d’esprit : lucides face aux risques, mais résolus à prendre leur destin professionnel en main. Pour certains, l’IA devient même un extraordinaire tremplin, permettant d’accéder bien plus tôt qu’hier à des missions stratégiques. Côté employeurs, la tendance est claire : la maîtrise de l’IA devient un critère de sélection déterminant. Les entreprises ne cherchent plus uniquement des profils exécutants ; elles recherchent des jeunes capables de piloter des outils, de contrôler la fiabilité des données, d’analyser des résultats et de gérer la relation client là où la machine ne peut intervenir. Comme le souligne David Beaurepaire, directeur délégué de Hellowork, les postes de marketing, consulting, finance, support client ou développement logiciel sont en pleine transformation : les tâches de base se dématérialisent, tandis que les missions à responsabilité se concentrent sur l’intégration d’outils, la gouvernance des données et l’analyse. Le travail bascule ainsi d’un rôle d’exécutant vers celui d’orchestrateur. Après le rebond post-Covid de 2022, les promotions 2024–2025 se trouvent face à un marché plus froid et plus exigeant, où les entreprises privilégient les profils déjà expérimentés, capables d’être immédiatement opérationnels dans un environnement où l’IA prend en charge une partie des tâches d’entrée de carrière. Les juniors ne sont pas écartés, mais ils sont clairement confrontés à un niveau d'attente inédit. La génération Z n’est pas dépassée : elle est mise à l’épreuve. L’IA n’est pas son ennemie ; elle est son juge. Ceux qui sauront l’adopter, la maîtriser et l’utiliser pour augmenter leur impact professionnel prendront une longueur d’avance. Les autres risquent de rester au bord du chemin. Une chose est sûre : la génération Z entre dans le monde du travail dans la tourmente, mais elle possède l’agilité, la culture numérique et la rapidité d’adaptation nécessaires pour transformer cette crise en opportunité. À condition d’accepter une vérité nouvelle : on ne demande plus aux jeunes d’exécuter, mais de penser, piloter et décider.

   

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Recrutement : quand la pénurie de temps crée la pénurie de talents

Les recruteurs peinent de plus en plus à attirer des candidats assez qualifiés en raison notamment d’un manque de temps, selon une étude publiée récemment. C’est un chiffre étonnant. Selon une étude publiée dernièrement par Indeed, site spécialisé dans la recherche d’emploi, 8 recruteurs sur 10 déclarent avoir déjà été contraints de recruter des profils moins qualifiés qu'espérés, faute de candidatures suffisamment adaptées. Ce phénomène, loin de se cantonner à un type d’organisation, touche l’ensemble du tissu économique. S’il est encore plus marqué dans les petites et moyennes entreprises (86 %), il concerne aussi les entreprises de taille intermédiaire (79 %) et les grands groupes (71 %). Alors comment expliquer qu’autant de candidats sous-qualifiés parviennent tout de même à décrocher un poste, dans un contexte de baisse massive des embauches ? Selon les résultats de l’enquête, qui s’appuie sur les réponses d’environ 2 000 recruteurs et salariés, la raison est simple : les recruteurs manquent cruellement de temps pour sélectionner les meilleurs candidats. « Cette étude met en lumière une réalité que nous observons tous les jours : le manque de temps est devenu un véritable facteur de risque dans le recrutement, explique Charles Chantala, directeur commercial chez Indeed France. Or, derrière chaque poste vacant se cache un coût qui pèse sur la performance des entreprises. L’enjeu n’est donc pas seulement de recruter vite, mais de bien recruter, malgré l’urgence.» Autre chiffre alarmant mis en exergue par l'enquête, seuls 13 % des recruteurs interrogés considèrent avoir « pleinement le temps » de mener des recrutements. Un frein pour les candidats Pour ne rien arranger, les recruteurs pointent également du doigt la lenteur des processus d’embauche. Leur durée excessive est en effet devenue un frein majeur, puisque 67 % des recruteurs admettent avoir déjà perdu un bon candidat à cause de la durée de la procédure qu’ils ont mis en place. Avec le risque d’être contraint de choisir un candidat moins qualifié. Cette lenteur dans les processus de recrutement n’est pas seulement un frein pour les employeurs puisqu'elle rebute également les demandeurs d’emploi. 65 % des candidats déclarent en effet avoir déjà renoncé à postuler à un poste du fait d’un processus de recrutement jugé trop long. Un chiffre qui atteint même 73 % chez les moins de 35 ans et 77 % chez les Franciliens. A noter que le recrutement est jugé comme plutôt rapide par 57 % des salariés dans plusieurs secteurs en tension, comme l'hôtellerie-restauration, le commerce ou encore les transports. « Dans un contexte où le recrutement efficace devient une nécessité, la transparence et la clarté du processus apparaissent donc comme des leviers essentiels pour préserver la qualité des recrutements », conclut Charles Chantala.

   

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Les dernières missions confiées à R.C.V. Conseil

Pour votre information, vous trouverez ci-dessous quelques-uns des recrutements qui ont été confiés à notre Cabinet au mois de novembre et décembre :

Responsable Prévention - Ile-de-France
Chef d’Equipe Serrurier Métallier Pose – Rennes ou Saint-Brieuc
Chargé d’Affaires Maintenance - Arras
Technico-Commercial - Lyon
Chargé d'Affaires Etanchéité - Nice
Responsable Supply Chain - IDF
Assistant ADV - IDF
Contrôleur Qualité - IDF
Technicien Méthodes - IDF
Préparateur de Commandes - IDF
Conducteurs Travaux - IDF
Chargé d'Affaires - IDF
Pilote OPC - IDF
Pilote OPC confirmé - IDF
Responsable Construction - Macon
Conducteur Travaux confirmé - IDF
Chargé d'Affaires/Commercial - IDF
Responsable des Opérations industrielles - La Réunion
Responsables de Production - La Réunion
Responsable de Maintenance Groupe - La Réunion
Responsable Qualité et R&D - La Réunion
Chargé d'Affaires confirmé - IDF
Chargé d'Affaires - Commercial - Melun

 

 

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Toute l’équipe du Cabinet R.C.V. Conseil : Régis, Nathalie, Louis-Marie, Marie, Louis-Marie, Gwénaëlle, Pierre-Antoine, Thibault, Amélie et Marc-Henri se tiennent à votre disposition. Bien cordialement, Régis de la CROIX-VAUBOIS Président 144 Bureaux de la Colline - 92213 Saint-Cloud cedex Tel : 01.55.38.75.00 Le Forum - 27 rue Maurice Flandin - 69444 Lyon cedex 03 Tel : 06.46.36.11.66 contact@rcv-conseil.com www.rcv-conseil.com LinkedIn R.C.V. Conseil  

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